Cookie Consent by FreePrivacyPolicy.com

Dictée de la rentrée

Publiée le 03/09/2024

Nous voilà au mois de septembre, celui-ci est synonyme de rentrée scolaire ! Pour l'occasion, une dictée pleine de fautes à trouver, est proposée aux résidents.  

Mardi 3 septembre, les résidents ont sorti leurs feuilles, leurs plus belles plumes pour relever le défi de retrouver les 20 fautes dans la dictée suivante :  😂

"Quand les hommes débouchèrent dans la longue clérière, la lune se levait sur les crètes, la
paleur des champs de neiges laissait deviner, grâce aux ombres indécises, les reliefs arrondis
des alpages supérieures. La forêt semblait s’arrêter brusquement à partir de cet endroit ;
malgrès la nuit, on pouvait distinguer la masse basse et trapu de deux chalets d’alpage. La forêt
bordait la clérière d’une muraille sombre qui allait ce clairsement, et plus haut il ne restait de
l’épaisse futais que quelques petits sapins encapuchonés de neige comme des pénitants blancs.
Le froid très vif semblait tombé des étoiles qui scintillaient au-dessus de la vallée. Le cirque des
montagnes était parfait et de l’endroit choisis on n’apercevait aucune vallées, aucune lumières.
La plupart étaient montés à pieds, utilisant la trace gelée laissé par le va-et-vient des traîneaux
qui avaient servis à dessendre le foin de l’alpage."

Avant de lire la correction, êtes vous prêt à relever également le défi ?

Félicitations aux résidentes qui ont trouvé les 20 fautes. La majorité des résidentes ont relevé entre 15 et 17 fautes.

Et vous ?


Correction :
Quand les hommes débouchèrent dans la longue clairière, la lune se levait sur les crêtes, la
pâleur des champs de neige laissait deviner, grâce aux ombres indécises, les reliefs arrondis des
alpages supérieurs. La forêt semblait s’arrêter brusquement à partir de cet endroit ; malgré la
nuit, on pouvait distinguer la masse basse et trapue de deux chalets d’alpage. La forêt bordait la
clairière d’une muraille sombre qui allait se clairsemant, et plus haut il ne restait de l’épaisse
futaie que quelques petits sapins encapuchonnés de neige comme des pénitents blancs. Le froid
très vif semblait tomber des étoiles qui scintillaient au-dessus de la vallée. Le cirque des
montagnes était parfait et de l’endroit choisi on n’apercevait aucune vallée, aucune lumière. La
plupart étaient montés à pied, utilisant la trace gelée laissée par le va-et-vient des traîneaux qui
avaient servi à descendre le foin de l’alpage.